Les tempêtes font que les arbres ont des racines plus profondes

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L’Ile Grande entre 2 tempêtes

La semaine dernière, entre 2 tempêtes, j’ai effectué une promenade sur l’Ile Grande. Forcément, je me doutais bien que j’en reviendrais avec quelques photos à vous montrer !

Dans cet article, vous ne verrez ni vague spectaculaire, ni maison inondée, aucune digue effondrée ou autre catastrophe… D’une part parce que, malgré quelques dégâts, l’Ile Grande a été relativement épargnée par les tempêtes répétées de cet hiver. D’autre part parce que je laisse le soin aux journalistes de vous en parler… 😉

Pour commencer, voici quelques vagues. Et oui, pas de tempête « officielle » ce jour-là, mais il y avait encore beaucoup de vent et de houle.

Vaguement agitée !

La mer bouillonnait et moussait comme quand les enfants mettent trop de produit dans leur bain ! 😀 L’écume, soulevée par les rafales de vent, s’envolait le long de la côte.

Blanche d'écume

Le Corbeau, ce gros bloc de granit, en a vu d’autres… et en verra sûrement encore ! Ce jour-là, il s’amusait à cache-cache avec les vagues.

Caché !

Coup de cœur à Pors Gwen… Une belle lumière et des couleurs magnifiques… Je n’ai pas pu résister à prendre ces quelques photos.

Ciel !

« Quelques » galets et pierres ont valsé, parfois loin de leur point de départ. Bousculés par la force des vagues, ils ont été oubliés par la mer quand elle s’est retirée.

Pierre qui roule...

La mer, ignorant nos volontés, redessine les côtes comme il lui plait. Ici, elle aplatit une haie de pruneliers, là elle change le contour d’une plage, emporte un peu de terre ou soulève l’herbe comme une vulgaire moquette…

Je grignote, tu grignotes, elle grignote...

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